Développement socio-émotionnel et neuro-cognitif de l’enfant, de l’adolescent et de l’adulte (DevSENCEA)
Responsable : R. Miljkovitch
Participants :
Anne-Sophie Deborde (PR), Milena Kostova (PR), Annamaria Lammel (MCF-HDR émérite), Françoise Morange-Majoux (MCF-HDR), Caroline Beauvais (MCF), Caroline Guérini (MCF), Mikkel Hansen (MCF), Jean-Charles Houillon (PAST), Jean-Marc Meunier (MCF), Stéphanie Vanwalleghem (MCF).
Doctorants :
Sam Ahmad, Lina Benali, I., S. Ben Mahdi, Irène Bogicevic, Lorna Cuevas Cerna, Cécile Da Silva, Myriam De Summa, Maria Teresa El Tawil, Hava Guez,Marie Hindenoch, Lana Kheirallah, Elodie Lavoitte, Amélie Lesénécal, Fabien Marmonier, M., Montevil, Nicolas Pfeiffer, Szofia Pesovar, Elise Potier, Emmanuelle Raccah, Laurie Rodier, E., Rozier, Aino Elina Sirparanta, Sandrine Taalba, Camille Toléon.
Les recherches de l’axe DevSENCEA visent une meilleure connaissance du développement de l’individu à travers les différents âges de la vie et notamment durant des transitions critiques (ex., passage à l’âge adulte, accès à la parentalité…). Il s’agit de comprendre l’individu à la lumière de son vécu, de ses capacités liées à l’âge et de son développement neurocognitif. Évoluant dans un monde aux changements rapides et de plus en plus digitalisé, les modalités relationnelles sont bouleversées et donnent lieu à de nouvelles problématiques dans la construction de soi. Le contexte au sein duquel évolue la personne, selon qu’il est favorable ou non, joue un rôle protecteur ou bien précipitant par rapport à la survenue de certaines psychopathologies ou problèmes d’adaptation.
Les thématiques phares de l’axe DevSENCEA portent sur :
– le développement socio-cognitif de l’enfance jusqu’à l’âge adulte (ex., théorie de l’esprit, empathie, mentalisation, capacités d’élaboration, adaptation socio-scolaire…)
– le développement neurocognitif et l’influence du contexte social sur celui-ci (ex., attachement et transition psychotique) ;
– l’impact du contexte (ex., maltraitance, placement, harcèlement…) sur le développement socio-émotionnel et sur la survenue de troubles psychologiques (ex., addictions, troubles anxieux, dépression, trouble des conduites, risque suicidaire…)
– la construction de soi dans les échanges virtuels (ex., réseaux sociaux) et l’usage problématique d’Internet.